Périgueux ou Periguers
Périgueux (en occitan Periguers ou Peireguers)
Ses habitants sont appelés les Périgourdins ou Pétrocoriens.
Sa devise est « Fortitudo Mea Civium Fides » (« La fidélité de mes citoyens fait ma force »). Le blason de la ville est constitué d'une porte à trois tours crénelées dont celle centrale est surmontée d'une fleur de lys (Sur ciel de gueules et terre de sinople, au château d'argent de trois tours crénelées, la centrale surmontée d'un lys d'or).
un petit cour d'histoire trouvé sur "Wikipedia" :
En 200 avant J.-C., les Pétrocoriens venus du Nord s'installent à Périgueux et créent un camp à La Boissière. Après l'invasion romaine, ils quittent ce camp vers 30 avant J.-C. et s'installent dans la plaine de l'Isle : Vesunna est créée. Cette cité romaine s'embellit (temples, bains, arènes, forum, etc.).
À la fin du IIIe siècle, la cité romaine s'entoure de remparts (dont une partie subsiste) et la ville prend le nom de Civitas Petrucoriorum.
Vers 1182, le Puy-Saint-Front, qui s'est développé au Xe siècle autour d'une abbaye construite à côté de l'antique cité gallo-romaine, s'est organisé municipalement.
Périgueux naît en 1240 de l'union de deux bourgs rivaux implantés à quelques centaines de mètres l'un de l'autre : la Cité (la Vésone gallo-romaine), ville de l'évêque et du comte de Périgord et la ville bourgeoise de Puy-Saint-Front.
En 1669, l'évêché passe de l'ex-cathédrale Saint-Étienne, ruinée par les huguenots, et située dans le quartier de la Cité à la cathédrale Saint-Front, ancienne église de l'abbaye du même nom.
En 1790, s'est constituée la ville actuelle.
En 1813, Périgueux s'agrandit avec la fusion de l'ancienne commune de Saint-Martin.
En 1857, Périgueux voit l'arrivée du chemin de fer venant de Coutras et avec lui l'installation des ateliers de réparation des locomotives et des voitures de la Compagnie du Paris-Orléans (PO), activité qui survit encore de nos jours dans le quartier du Toulon.